Bon là j'ai écrit les détails du voyage et vous le lirez dans un ti livre. Pour le moment je peux vous dire que je me pose sérieusement la question pourquoi ce voyage de fou. Le physique n'est pas top, genou, mollet, période abondante, et découragement. J ai presque pris la direction de Paris aujourd'hui pour en finir.
Mais non, il y a une petite voix qui me dit encore un peu. Le Pyréné c'est tellement beau et les gens sont tellement sympa. Un petit bout encore. Alors demain je monte et monte et monte pour redecendre, redendre et devinez quoi redecendre. Mais je sais que ce sera magnifique. Le découragement m'envahit et je dois le combattre pour avoir cette beauté.
On s'en reparle
SO
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Tu traverses, peut-être le MUR que bien des marathoniens subissent.
RépondreSupprimerIls disent aussi que lorsqu'ils réussissent à passer cette souffrance, ce mur...il y a une pénitude qui les envahie.
Puisse que TON mur, n'être pas trop long et pénible et qu'il t'apporte vitement vers cette plénitude désiré...sans trop de marques.
Si c'était siii facile....le dénouement et la raison de ce voyage ne serait pas le même hein?
Ceux qui y sont ''déposés'' sur ce chemin et repris plus loin....( dans un certain confort)..ne pourront retrouver la VRAIE raison d'un tel voyage.
Ceux-là, vont racontés par moults gestes...leur voyage, ''hey ils auront fait Compostelle''....ouais, c'est vrai....MAIS..toi....toi ... tu parleras de ton pélérinage......et même que parfois, j'imagine...tu ne pourras raconter...que par des silences...ça voudra aussi tout dire !!!
Prends soin de toi.
Hélène T.
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